Théâtre le 9 décembre – Le fruit de nos entrailles

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Lundi 9 décembre, à 20h30,

au théâtre des Maristes

Après le succès de sa première création “Je danserai pour Toi”, créé en 2015, Sophie Galitzine vous invite à découvrir son nouveau spectacle sur le challenge, le mystère du couple.

C’est l’histoire de Louison et Max, de leur rencontre, de leur mariage, de leur vie au quotidien, avec ses joies et ses chagrins, jusqu’à leur grande vieillesse ensemble. C’est l’histoire d’un couple actuel qui a décidé de se choisir et d’oser la folie de l’engagement jusqu’au bout du bout et même au-delà.

A une époque, où la liberté parait être de pouvoir changer de tout, tout le temps et quand je veux, en quoi se maintenir et rester, ouvrir grand et déposer un oui franc et engagé,  peut-il être à la source d’une grande liberté ? Et si la quête de cette autre liberté, plus profonde, plus sereine, plus alignée avec la fine pointe de son être, s’expérimentait en considérant l’autre comme le chemin de son accomplissement ? Et s’il fallait pour y parvenir, accueillir dans son couple une troisième personne, une altérité transcendante ? Et que la porte était l’union des corps, avec le don et la délicatesse, comme source de joie.

Avec la danse, l’art du clown et le théâtre, l’humour et l’angoisse, la tendresse et la violence, Sophie Galitzine donne à percevoir la liberté qui nait de l’engagement dans le couple.

Plus d’information :
https://institutdetheologieducorps.org/sophie-galitzine-a-lyon-le-9-decembre/

Sophie Galitzine : auteur, danseuse et comédienne

« J’observe ma vie amoureuse de jeune fille, j’observe mes parents et beaucoup de leurs contemporains, et je vois trop souvent un zapping affectif, une immédiateté dans la relation, dans le désir et le choix d’aimer. Comme si l’autre n’était qu’un pour subvenir à mes besoin et mes vides.

Bouleversée par les choix radicaux de personnes proches qui ont choisi la voie monastique, moi-même en quête de plus de Dieu et de silence dans une vie quotidienne et bien chargée, je me suis interrogée : le couple permet il de vivre une vie en Dieu et de devenir des saints modernes ? J’ai eu la surprise de découvrir la théologie du corps de Jean-Paul II, une parole qui n’est absolument pas moraliste mais inattendue et même révolutionnaire : avoir du plaisir, faire l’amour, jouir, est une bonne chose, une chose sainte et sacrée puisque par la chair, la chair livrée, l’amour de deux personnes mène vers Dieu. »